La part SDA et la part SDS – Récapitulation et abandon – L’alter programmateur – Accepter le prédateur – Luiz-Maria l’androgyne – PART. I

 

L’objectif principal de ce récit est de montrer avec l’appui des exemples qu’il comporte, de quelle façon ma moitié SDA a été paralysée puis subordonnée à mon autre moitié, la moitié SDS. Mais aussi comment aujourd'hui, sortir de cette situation se révèle peu à peu être une initiation riche d’enseignements.

 

Chaque jour ma Supraconscience me délivre une nouvelle leçon. Je prends des notes, j'apprends et j'applique. Avec de moins en moins de difficulté, j'accepte avec humilité de retourner à l'école, mais cette fois la vraie, celle où l'acquisition de la Connaissance est réelle. Les cours sont intenses, je peux vous le dire ! Il vaut mieux ne pas rater une leçon. Mais bon, conscientiser ce que veut dire relâcher fait partie aussi de la quête de vérité, et la vérité commence d'abord avec soi. Du coup je continue d'écrire, mais je m'aperçois que mon rapport à la publication change. Je consacre particulièrement de temps à l'expérimentation et l'observation. De nouvelles compréhensions murissent. Je me sens souvent perdu car j'ai envie de partager certaines expériences de manière détaillée et que d'un autre coté le temps me manque. Je m'attache à montrer ma progression mais je sais également que la notion d'équilibre est en train de prendre du sens dans ma démarche et que donc, les différentes aspirations du blog et la quantité publiée peuvent s'ajuster au fur et à mesure avec plus de souplesse.

 

 

 

 

La part SDS a accaparé jusqu’à récemment, la quasi totalité de mon esprit, usant de l’implantation et de l’activation, toujours plus forte, de programmes de contrôle ainsi que de tours de passe-passe entre mes différentes sous-personnalités (ou alters), faisaient d’elles ses marionnettes. Cette part est dans une large mesure, compartimentée par des murs d’inconscience et de souffrance, séparant et enfermant de nombreuses sous-personnalités placées parfois en marge de la vie psychique. Ces murs sont créés par les opérateurs du Service de soi de 4D avec l’aide d’appuis "au sol", pris parmi leurs divers agents insérés dans la Matrice de 3D SDS, et ce, sur différentes lignes temporelles. Ce qui engendre confusion et attitudes mécaniques. De ce fait l’échange que la part SDA entretient avec le Soi, est entravé.

 

Évidemment, ce partage basé sur mes expériences ne fait pas office de règle pour approcher la façon dont les présences SDA et SDS se manifestent en nous et à l’extérieur de nous, dans notre bulle de perception. Certaines personnes ont une part SDS beaucoup moins prégnante que la mienne, d’autres beaucoup plus. Chacune aura donc un vécu du rapport SDS/SDA différent. Je pense que mon exemple livre cependant des éléments cruciaux pour aborder ce que nous expérimentons généralement en tant qu'humain. Si la part SDS exerce une emprise quasi totale sur la conscience et la vie de l’individu, il est difficile pour lui, voir impossible, de conscientiser le déséquilibre entre les deux polarités dans l’incarnation concernée, à moins d’un revirement extrêmement brutale. Il faut de toute manière que la personne soit "configurée" génétiquement et vibratoirement pour supporter une voie émancipatrice.

Rappelons que la part SDS se dissimule autant derrière le visage de la victimisation que celui de la programmation agressive du bourreau/dominant. Pendant notre parcours, et malgré qu'ils apparaissent opposés, elle arbore tour à tour ou même en même temps, ces deux visages, confirmant d’ailleurs que la frontière entre le bourreau et la victime n’est pas si tranchée que l’on pourrait le penser, et que ces figures sont dépendantes l’une de l’autre et forment un cercle vicieux. Ce qui veut dire que nous devons faire attention à ne pas nous attacher, ni nous identifier à un de ces visages, si nous voulons réellement comprendre la dynamique à l’œuvre, et premièrement, la boucle dans laquelle nous tournons en rond. Toutefois une de ces deux facettes aura tendance a prédominé durant de longues périodes. C’est donc fréquemment en constatant que nous sommes enfermés dans une de ces polarités que nous prenons conscience de notre part SDS et de son rapport à quelque chose qui est en sommeil ou tenue en arrière plan, la part SDA. Vous l’aurez compris, actuellement, ma porte d’entrée est majoritairement la polarité du bourreau.

 

D'ailleurs, en éclairant ce processus obscur, ce texte participe à ma libération. Celui-ci récapitule donc certains moments-charnières de cette incarnation et décrit certains mécanismes de conditionnement qui y furent à l’œuvre. Il montre comment certains événements et indices récents, sont venus, à la lumière de la remise en question, mettre en évidence cette logique pernicieuse en place de longue date.

Les programmes d’abandon et de besoin de reconnaissance, comme la notion d’échec, sont parmi les leviers principaux que les opérateurs/programmateurs transdimensionnels actionnèrent et actionnent encore pour contrôler ma destinée.

 

Ils procèdent aussi, à mon avis, par des jonctions de lignes temporelles pour accentuer l’activation génétique et vibratoire du phénomène psychopathique. Les prédateurs superposent ou joignent à la ligne principale, celle où la conscientisation et l’émancipation du système de contrôle sont les plus probables – en l’occurrence celle qui est le centre de notre discussion – diverses lignes où le facteur de la psychopathie est très prégnant, et tentent ainsi d’emporter cette guerre de possession. J’exposerai de quelle façon cet aspect m’apparaît.

 

 

 

 

Vous pourrez également prendre connaissance de la façon dont les opérateurs SDS s’accaparent et détournent les atouts et les facultés de la part SDA quand elle est sous leur joug. D’ailleurs ceci augmentant la dénaturation de cette dernière, augmente aussi son assujettissement.

J’ai eu la vision qu’ils s’y prennent comme avec une boite à outils qu'ils ont dérobée et dont ils utilisent les éléments selon leur bon vouloir, faisant fi de la déontologie quant à l’utilisation de cet outillage et à l’autorisation même de l’utiliser. Cela se passe à l’insu du "propriétaire" car ils s'arrangent pour contourner mon libre-arbitre.

 

Je vais illustrer cette situation d’emprise par deux autres métaphores, celle du couple et du gourou (inspirée d’un exemple vécu) et celle du symbolon et du diabolon (qui pourrait être aussi celle du cœur brisé et du cœur réuni). Ces métaphores que nous garderons à l’esprit, seront des clés de lecture pour la suite du récit et l’interprétation des exemples qui y figurent.

 

Lorsque qu’il y a quelque jours, j’ai pris conscience violemment de cette fracture qui m’habitait et de la domination de ma part SDS, une vive émotion m’a traversé et les larmes ont coulé. C’était le lendemain d'une interaction avec Hélène que je décris dans une des parties suivantes, lors de laquelle l'alter prédateur/programmateur fut mis à jour. J’ai rapidement fait le lien entre cette conscientisation et le fait que la Terre de troisième densité SDS soit peuplée de deux humanités à part approximativement égale. Je venais de lire dans le Tome 4 de L’Onde de Laura Knight un passage sur le thème des humains adamiques et des humains pré-adamiques (p77-93). Les premiers ayant conservé leur connexion avec le Soi, pourraient symboliser la part SDA. Les seconds ayant été un des moyens d’introduire des gènes de psychopathie au sein de l’égrégore humain, peuvent être comparer à la part SDS. Parallèlement je tombais sur deux vidéos parlant de ce sujet, l’une dans laquelle il est un des sujets abordés, une des vidéos-partages du Réseau Léo à Vicdessos, l’autre visible sur la chaîne You Tube de Rorschach (vidéo en lien ci-dessous), est spécifiquement dédiée à la thématique des deux humanités, comportant des informations recoupant celles diffusées par les deux précédentes sources ainsi que d’autres, qui divergent par rapport à ces matériaux.

Ce phénomène de scission interne et d’abdication de la part de conscience destinée à porter mon évolution, est analogue à celui que je vécus au printemps alors que j’étais devenu un canal de prédation et que mon esprit paralysé était en gage.

Vous allez voir que l’illustration suivante – le couple et le gourou – confirme ce que Jenaël suggère en introduction d’une autre video-partage du Réseau Léo, à savoir que l’homme qui a tendance à se couper du féminin et qui est la plupart du temps dirigé par son ambition, représente, concentre généralement la part SDS dans le couple. La femme, même si elle aussi est en partie coupée de sa polarité féminine, représente la part SDA, car la plupart du temps elle reste en contact avec la véracité de ses ressentis.

 

Au début du scénario, les deux parts sont en équilibre, c’est à dire que chacun joue son rôle vis à vis de l’autre. L’un celui du discernement, l’autre celui de la stimulation. Un jour, l’homme rencontre un gourou. Celui-ci lui fait entendre tout un tas de chose sur l’évolution spirituelle, et qu’il peut être son guide pour cette fantastique aventure qui est bien au-delà du "train-train quotidien de la vie de couple" en l’occurrence. Il convainc son nouveau disciple, que pour s’élever, il doit se détacher des échanges "trop terre à terre" entre humains. L’homme est complètement fasciné, l’espoir d’étancher sa soif de Connaissance (sans doute sincère) est devenu son aveuglement et il devient sourd à la "petite" voix de sa part féminine, qui avec justesse et sagesse, attire son attention tout en respectant son libre arbitre et l’expérience qu’il a à vivre. Pendant longtemps l’homme resta absent à ce murmure de la sophia, l’oublia et se perdit, possédé par son orgueil. Les prédateurs dans les griffes desquels il était tombé, utilisèrent sa vanité.

 

 

 

 

La métaphore de la dualité symbolon/diabolon aborde la thématique de la relation SDA/SDS d’un point de vue plus métaphysique. Comme nous le verrons cette dualité qui s’exprime par une différence de point de vue, manifeste justement deux façons de voir la dualité. L’une conditionne notre existence prisonnière en 3ième densité SDS, et l’autre nous permet d’envisager une dynamique évolutive au sein de la Création toute entière, en associant les polarités SDS et SDA plutôt que de les opposer.

 

L’étymologie des mots symbolon et diabolon provient de la langue grecque.

Le premier désignait originellement une des deux parties d’un même objet (en général un morceau de poterie brisé) grâce à laquelle une personne pouvait en reconnaître une autre, liée à elle par une forme de contrat, quand celle-ci lui présentait l’autre moitié de l’objet s’ajustant parfaitement à la sienne. Ce terme a donné le mot symbole, dont le sens s’élargit. Ce dernier est un élément graphique, sémantique ou physique, qui a la vertu de relier sur le plan de la signification, une partie visible à une partie invisible par exemple, dès lors qu’en posant notre conscience sur cet élément, nous percevons et activons le lien symbolique.

Le symbolon, et de fait le symbole, est ce qui joint.

 

Le diabolon est exactement son contraire, c’est ce qui divise. Et nous voyons tout de suite que, porteur de la symbolique de la division, le diabolon, attribut et conséquence de l’existence du principe diabolique, est englobé par le principe universel de symbolisation. Et c’est un des aspects dont rendra compte notre métaphore, le symbole/symbolon en tant qu’objet s’adressant à la conscience éveillée, est supérieur au diabolon (elle l’inclut) qui lui traduit plutôt l’absence de celle-ci. La relation antinomique symbolon/diabolon illustre donc parfaitement celle que l’on retrouve entre l’orientation SDS et l’orientation SDA.

 

Dans le cas où c’est le diabolon, le Diable, qui dicte sa loi, la conscience est fragmentée en parties (SDA et SDS) et sous-parties qui n’ont que très peu de rapport entre elles et qui sont téléguidées par le Service de soi de 4D – et dans le cas d’une puissante dissociation aucun rapport et connaissance de la part n’est possible car elle est enfouie et murée dans l’inconscience. Chaque partie ainsi isolée est alors un diabolon potentiel car elle est obnubilée par un état de guerre intérieur et extérieur qui conditionne son rapport avec "ce qui n'est pas elle". Le rejet, le jugement, l’exclusion, la honte et la culpabilité qu’elle véhicule, lui font creuser de profonds fossés et ériger des remparts avec lesquels elle compte se défendre et depuis lesquels elle lance ses attaques. De ce fait, la frontière principale entre part SDA et part SDS, est sans doute la plus marquée.

Je comprends que je doit accepter que ce sont ces aspects qui dictent dans une large mesure ma conduite si je veux inverser la vapeur et donner la primeur à ma conscience SDA. C’est dans ce cas seulement, que synergie et harmonie peuvent se rétablir entre mes parties, pour qu’un mouvement, qu’une évolution soit réellement possible.

 

Quand la moitié SDA se réveille, elle matérialise l’esprit du symbolon, chaque partie est une portion qui peut être reconnue, et apprêtée en vue d’une réunification de la conscience individuelle qui se joint alors, elle aussi du coup, à la dynamique universelle.

 

Quand la partie SDS prend le dessus, elle fige la conscience dans une guerre de tranchée et chaque part de nous est réduit à l’esclavage. C’est cependant la fonction de cette partie d’appuyer sur une vision séparative de la dualité  pour dresser et forcir les grands traits de l’expérience afin de lui donner forme et consistance. Le rôle de la partie SDA est en quelque sorte de veiller à l’équilibre, et à ce qu'au niveau global, sa présence soit légèrement prégnante par rapport à celle de l’orientation SDS.

 

L’enjeu de cet équilibre se régule au travers de nombreuses consciences peuplant le multivers et je perçois de plus en plus clairement qu'il se joue en moi. Cet enjeu est à la fois individuel et collectif. Il donne toute sa dimension à la notion du Service d'autrui.

 

Si la part SDS est aux commandes, la frontière entre les deux facettes principales de la personnalité, est une ligne de démarcation coupant et encerclant des mondes concentrationnaires. Dans ce cas de figure, notre partie SDS et la prédation transdimensionnelle qui l’utilise comme canal, impose sa volonté au mépris du libre-arbitre général.

 

Lorsque la part SDA prend les rennes, que notre conscience se fond en elle, la frontière devient lieu d’échange, de renouveau et de transformation, et le libre arbitre qui est le fait de pouvoir prendre en considération autant notre vie intérieure qu’extérieure, est respecté.

 

D’un coté, chaque partie, la part SDS elle-même, tous mes alters subissent le contrôle, la séquestration, le cloisonnement et le déni.

De l’autre j’assiste à l’intégration progressive de chaque partie, c’est à dire à sa reconnaissance qui accompagne sa transformation. Processus que seuls le regard et l’acceptation de la part de conscience SDA vis à vis de chacune des facettes ou alters, permettent. Cette dynamique conduit simultanément à la réincorporation et à la réunification de chaque parcelle d’âme, de chaque parcelle de Soi au sein de notre subjectivité fédératrice. Ayant retrouvé vie, souplesse, adaptabilité et dépassé le dédain d’elle-même et des autres (ancré par la part SDS) au travers de l’alchimie de la reconnaissance, chaque part interne et son écho présent chez un des moi fractal, est désormais capable de jouer un rôle constructif dans notre cheminement.

 

Nous pouvons imaginer que pour la part SDA, le jeu consiste, en suscitant nos prises de conscience durant le temps où nous expérimentons tels ou tels alters et/ou fractales, à "convertir" chaque alter/diabolon en un alter/symbolon. A chaque conversion, la ligne (ou faisceau de lignes) principale se renforce sur son axe d'évolution spirituelle par un afflux supplémentaire d'informations qui peuvent être désormais utilisables dans ce sens.

 

De ce processus dépend l’accès à notre multidimensionnalité et la possibilité concrète de remettre en question nos programmes/croyances les plus profonds, puisque ces derniers, prenant en compte le caractère multidimensionnel de Notre Expérience depuis leur implantation, ont étendu leurs filets dans toutes les directions pour piéger nombre de nos fractales d’âme.

Nous constatons en quelque sorte, que l’union et l’échange, qui dès lors ont cours sur un plan interne et hyperdimensionnel, font la force !

 

Rappelons-le toutefois, c’est un jeu qui se joue à plusieurs, et notamment à deux en ce qui concerne l’équilibre SDA/SDS qui semble bien structurer de manière fondamentale la donne. Nous sommes principalement partagés entre ces deux forces. De la conscientisation de notre nature duelle à ce niveau-là tout particulièrement, dépend certainement que le mot partage prenne toute sa signification, qu’il ne soit assimiler ni à l’exclusion et la lutte (SDS-), ni à une uniformisation stérile (SDS+).

 

En écrivant ce texte je tombais sur une transcription cassiopéenne présente aussi dans le Tome 4, qui m’apporta certains éclairages pour dépeindre plus précisément ce sujet central que mes expériences ramènent en avant régulièrement depuis de nombreux mois, et qui est, de surcroît, en corrélation avec d’autres thèmes essentiels, comme ceux notamment de la spirale (ici dans l'extrait il est question de cercle) et de l’oscillation que j’aborde également dans ce blog. Le thème apparaît ici au sujet de liens existants entre groupes secrets dont les démarches sont à priori antinomiques. Voici l’extrait en question (p228-231) :

 

"Voilà qui est plutôt perturbant, c’était le moins que l’on puisse dire. Voilà que les Cassiopéens me disaient qu’ils étaient en contact avec ce Quorum qui, pour autant que je le sache, rassemblait les Maîtres occultes du monde, et un certain nombre de preuves – certes indirectes – semblaient indiquer que ce groupe n’avait pas les meilleures intentions vis-à-vis de l’humanité. Du moins, la propagande le laissait-elle entendre.

 

Je remis donc le sujet sur le tapis, déterminée à approfondir ce mystère :

 

25-10-1994

 

Q: (L) À un certain nombre d'occasions nous avons parlé du quorum et des Illuminati. Ils semblent être tous les deux les niveaux les plus élevés des organisations secrètes. Quel sont leurs rapports entre eux ?

 

A: Quorum surtout extraterrestre; illuminati surtout humain.

 

Q: (L) Bien, le quorum a été décrit…

 

A: Se rejoignent; deux moitiés d'un tout.

 

Q: (L) Eh bien, le quorum semble être décrit comme étant en relation avec les Cassiopéens, ce qui veut dire, vous, que vous avez décrit comme étant êtres bénéfiques, est-ce correct ?

 

A: Proche.

 

Q: (L) Les illuminati ont été décrit comme agissant derrière ou avec la Confrérie, laquelle a été décrite comme étant en connexion avec les êtres Reptiliens…

 

A: Proche. Mais pas aussi simple.

 

Q: (L) Eh bien, si le quorum sont les bons et les illuminati les mauvais, et sont tous deux aux plus hauts niveaux de la Franc-maçonnerie, qu'est-ce censé vouloir dire?

 

A: Imaginez un cercle ou un cycle d'abord et contemplez-le ensuite pendant un moment avant de poursuivre.

 

Q: (L) Ok, je suis en train de contempler le cercle cyclique.

 

A: Maintenant, deux parties représentants le positif et le négatif. Deux parties.

 

Q: (L) Eh bien, ce que j'en déduis c'est que les deux parties et les deux côtés jouent avec la race humaine. C'est ça ?

 

A: Non. C'est compliqué mais si vous pouvez apprendre et comprendre, ce sera une super révélation.

 

[...]

 

Q: (L) Ok. Quelle est la nature du mal ?

 

A: Un mélange.

 

Q: (L) Est-ce que les Reptiliens sont ce que nous pouvons considérer comme étant le mal ?

 

A: Oui.

 

Q: (L) Est-ce que les Cassiopéens sont ce que nous pouvons considérer comme étant le bien ?

 

A: Oui.

 

Q: (L) Cependant, est-ce que les Cassiopéens utilisent et manipulent les Reptiliens pour accomplir certaines choses ?

 

A: Non.

 

Q: (L) Les Lézards travaillent indépendamment et en opposition aux Cassiopéens ?

 

A: Indépendamment, pas en opposition.

 

Q: (L) Bien alors, y a-t-il quelqu'un par-dessus et au-dessus de tout ce plan…

 

A: Nous servons les autres donc il n'y a pas d'opposition. Soyez attentive maintenant. Pas à pas. Si vous ne comprenez pas totalement une réponse, posez-en une autre.

 

Q: (L) Partie d'un tout. Partie d'un cercle.

 

A: Mélangé.

 

Q: (L) Cela veut dire…

 

A: Imaginez une image d'un cercle coloré qui se mélange.

 

Q: (L) Vous dites qu'à certains niveaux les deux parties se chevauchent ?

 

A: Proche.

 

Q: (L) Dites vous que certains dans le Quorum sont bons et méchants - et pareil pour les Illuminati parce que les deux sont sur des côtés opposés du cercle, mais au point où celui-ci se mélange, l'un est plus attiré par un côté et l'autre par l'autre côté? Et ces organisations se trouvent là où les interactions s'assemblent?

 

A: Plus proche.

 

Q: (L) Laissons ça pour le moment.

 

A: Non. Maintenant s'il vous plaît.

 

Q: (L) OK. Alors ça se mélange. Y a-t-il quelque chose à voir avec... dans votre cas le service pour les autres veut dire que servez même ceux qui sont au service de soi, est-ce correct ?

 

A: Oui; nous vous servons et les Lézards ont programmé votre race pour le service de soi souvenez-vous.

 

Q: (L) Bien, je n'ai pas saisi un truc ou deux. Donc, je suis toujours une personne au service de soi en quelque sorte, est-ce correct ?

 

A: Mais se déplaçant doucement vers le service pour les autres. Pas tous les humains font cela.

 

Q: (L) Est-ce que cela veut dire que quand des personnes qui sont membres du quorum ou des illuminati demandent de l'aide, que vous, à cause de votre orientation au service des autres, êtes obligés de répondre aux appels de quiconque?

 

A: Oui et non.

 

Q: (L) Qu'est-ce qu'est la partie négative ?

 

A: Si les fréquences vibratoires ne sont pas conformes nous ne nous connectons pas.

 

Q: (L) Est-ce que le travail des Reptiliens fait partie d'un grand plan général ou dessein ?

 

A: Tout l'est.

 

[…]

 

Q : (L) qui a conçu ce cercle ?

 

A : Onde de fréquence naturelle. Certains proches de la conjonction fondent les deux modèles de service et chaque "camp" pour créer un équilibre parfait.

 

Q : (L) OK. Donc les Illuminati incarnent le niveau le plus élevé sur le chemin du Service de soi, et d’une manière ou d’une autre, en atteignant ces niveaux supérieurs, ils auraient la possibilité d’aboutir à des réalisations ou des fréquences qui modifient ou fusionnent leur position en un point où le Service de soi devient ou incorpore des réalisations au Service d’autrui, ou encore les pousse vers ces réalisations ? C’est exact ?

 

A : Continue.

 

Q : (L) Bon. Ceux du Quorum sont focalisés sur le Service d’autrui et, sur leur voie du Service d’autrui, ils commencent à comprendre que le Service d’autrui peut également inclure le refus de donner aux SDS ?

 

A : Pas loin.

 

Q : (L) et toute l’idée consiste à fondre les deux voies sans tenir compte de la direction par laquelle on y arrive ?

 

A : Le Service d’autrui fournit le parfait équilibre de ces deux réalités ; le Service de soi est l’extrême opposé qui ferme le grand cycle en parfait équilibre.

 

Q : (L) L’existence de la voie SDS est donc nécessaire pour que la voie SDA puisse exister ?

 

A : Oui."

Regardez comment dans le spectre des couleurs les  extrêmes se rejoignent tout en restant différents ( le rouge chaud et le bleu-violet) et même en passant par un noir absolu !

 

Nous sommes d’accord que seule la part SDA peut révéler dans notre bulle de perception la synergie qui est visible à d’autres niveaux et qui caractérise en réalité foncièrement la dualité dont elle fait partie intégrante : la dualité SDA/SDS.

Mais il est important de comprendre que la part SDS, qui est littéralement opposée à cette synergie, a pourtant son rôle dans cette affaire. C'est pour cela que je reviens à nouveau sur cet aspect qui a été encore souligné dans mes expériences récentes. A différents degrés, nos personnalités abritent toutes un Docteur Jekyll et un Mister Hyde. Et nous ne pouvons faire disparaître la part SDS, même si elle est souvent vue comme la part obscure. Ce dernier point s'explique d'ailleurs de manière tout à fait logique. Nous ne voulons pas regarder cette part et mettre la lumière nécessaire sur sa présence. Elle est donc connotée négativement par notre conscience qui utilise pour ce faire un élément sur lequel le Service de soi s'arrange pour que nous jetions l'opprobre. Cet élément nous sert du coup à mettre à l'écart, à mettre au placard ce qui nous gène, c'est l'obscurité.

Et notre déni se reflète à l’extérieur, où cette part M Hyde grandit de plus en plus actuellement dans notre réalité de troisième densité.

 

La part SDS est pourtant une composante intrinsèque de l’univers et de notre subjectivité, où elle joue au final une fonction motrice quand nous la reconnaissons. Nous ne pouvons l’annihiler, car nous serions alors comme un légume, un ressort sans élasticité. Nous devons apprendre en investissant notre part SDA, à l’associer à notre évolution. Nous voyons qu’une fois une certaine alchimie faite, l’équilibre peut se faire et que la part SDS a de nombreux atouts pour la route. Le prédateur connaît la psychologie humaine, il réagit en nous indiquant la présence d’un autre prédateur, sa hargne peut être utile pour trancher, sa rigidité peut devenir une volonté d’avancer, etc. Dans la deuxième partie du texte Le dragon, entre dualité et gémellité, je fais part de plusieurs exemples vécus où cette transformation alchimique est à l’œuvre.

En enlevant de nos concepts, faits et gestes, les scories accumulées tout au long de l’expérience brute SDS, en faisant un compost de tous nos fonctionnements limitants, nous retirons la quintessence de nos attributs primordiaux, nous épurons notre lien à la prédation et nous enjoignons nos moi prédateurs à suivre le mouvement.

 

En d’autres termes, il est essentiel d’avoir des croyances à dépasser et à alchimiser émotionnellement, physiquement et mentalement. C’est principalement au cours de ce processus que nous redevenons présents à nous-mêmes, à ce qui se passe en nous sous l’effet des programmes, et par suite, à nous-même en tant que conscience transformatrice et créatrice.

Par ce biais, nous redevenons aussi conscients du dialogue que nous pouvons nourrir avec le Soi et nous voyons ce qu’il peut nous apporter concrètement sur ce chemin de dépassement. Nous constatons que c’est également une part de nous – le Soi est présent également dans notre structure à travers l’âme et la génétique – qui peut fédérer les autres. Nous nous reconnaissons à travers et au-delà de la programmation. Par ce que notre part au Service de soi, c’est à dire nos moi prédateurs et leur empreinte en nous, nous inflige, et du fait qu’elle nous met en mouvement, nous nous dévoilons à nous-même en tant que réalité multidimensionnelle et dynamique.

 

Cela veut dire, à un autre niveau, que le symbolon, le geste de joindre pour construire ne peut exister si la fonction du diabolon, c’est à dire la division, n’est correctement accomplie. Ceci est la fondation de notre histoire.

Il est nécessaire que la part SDS par sa vocation à la séparation, au déséquilibre, à la stagnation, et à l’involution, nous plonge au cœur de l’initiation qui donne sens autant au versant SDA, qu’au versant SDS et à la création toute entière. La Création "se maintient" parce qu’elle se rejoue tout le temps, dans tous "les temps", et particulièrement au travers de la dualité SDS/SDA, avec une polarité qui incarne la conscience même, qui ressent l’enjeu et l’appel de s’aligner sur la dynamique fondamentale qui "maintient" le cosmos, et une autre polarité qui y participe en se plongeant dans l’inconscience.

Le diabolon doit faire son office dans tous le multivers, chez certaines consciences et dans les expériences qu’elles vivent, plus que d’autres, pour mettre en relief l’état de Conscience Unifiée, et la capacité de la part consciente de cette unité duelle – la part SDA – de faire battre le cœur formé des deux polarités. C’est la condition sine qua non pour qu’il y est Expérience et que la Conscience au travers d’elle puisse se vivre en tant que Conscience. Par le biais de l’Expérience la Conscience trouve matière à conscientiser et donc d’être Conscience. C’est en forgeant que l’on est forgeron. On ne peut être présent sans avoir quelque chose auquel être présent, et la part SDS agit parfaitement pour que cette condition soit remplie.

 

L’existence s’exprime donc au travers une dualité oscillatoire sans commencement ni fin. Et elle a besoin du versant SDS pour ça, pour les raisons que nous venons d’énumérer. Car Conscience et Expérience ont aussi besoin l’une de l’autre. Par conséquent l’une ne peut jamais se terminer pas l’autre, ni "commencer" la Création seule, car les deux versants de cette Création sont nécessaires l’un à l’autre. Pour que cela soit possible nous oscillons de l’un à l’autre (phénomène plus conscients chez nos mois évolués), par des oscillations souvent synchrones et supraluminiques.

Puisque la Conscience a besoin de l’Expérience, l’Expérience ne peut aboutir à la Conscience puisque cette dernière a besoin de l’Expérience pour se voir et pour être. Donc l’Expérience doit subsister et surtout l’oscillation entre les deux.

Et vice versa, nous pouvons sentir que l’Expérience est une émanation de la Conscience, elle est maintenue, choisie et développée par elle. La Conscience expérimente tout ce qu’elle est potentiellement en étalant ces possibles dans le temps et l’espace de chaque expérience. En conséquence nous ne pouvons ni démarrer ni terminer l’aventure cosmique par l’Expérience seule, car celle-ci aussi a besoin de son pendant, la Conscience.

Il n’y a donc pas un élément qui est premier mais un des deux qui est Conscience. Et tout cela n’est réalisable que parce que la Conscience elle-même peut se partager en deux polarités qui auront chacune des relations spécifiques avec elle et L’Expérience.

 

 

 

 

A nouveau la question de l’équilibre SDS/SDA m’amenait à intégrer que ce qui se passe à l’intérieur, se passe à l’extérieur, et que ce qui est en haut est comme ce qui est en bas. Ce qui se passe à l’échelle individuelle est la répercussion mais aussi la source de ce qui se passe à l’échelle globale, car nous assistons dans tous les sens, à des dynamiques basées sur la réciprocité, une réalité cybernétique où le point de départ peut devenir le point d’arrivée et vice et versa. En m’ouvrant à des leçons de plus en plus déterminantes, les expériences et les indications s’accumulent pour m’aider à comprendre et confirmer que l’aventure de la Conscience, me plonge au cœur des ramifications d’une réalité multidimensionnelle et intersubjective, un monde de relations organiques où les délimitations qui ont cours en 3D SDS volent en éclats. Ramifications qui impliquent un principe de correspondance entre tous les niveaux, entre toutes les strates au sein d’un univers à la fois fractalisé et hologrammique.

 

L’Échange est possible à l’intérieur entre mes alters, mes parties, en même temps qu’il est possible avec chacun de mes échos, de mes mois fractals déployé dans ma projection au sein du multivers. Et ce jeu est orchestré par les tonalités SDS et SDA. Chaque alter, chaque sous-personnalité a son pendant dans une autre ligne temporelle, qui se trouve parfois dans une autre densité. Comme une des notes fondamentales d’un morceau de musique, chaque alter est greffé dans l’expérience d’un de mes moi parallèles ou du moi que j’incarne ici et maintenant. Certains alters, certaines de ces notes et peut-être une plus particulièrement, est "majoritaire" dans une ligne donnée. C’est pour ça que quand un programme et le contexte karmique qui lui est rattaché remontent, j'ai affaire à une ligne où est expérimenté plus spécifiquement le programme du bourreau durant des circonstances d’inquisition par exemple. Nous avons une sorte d’échantillonnage de fractales et de lignes qui font correspondre souvent un travail d’intégration d’un groupe de programmes, d’une façon d’associer ces programmes, avec une ou plusieurs résonances parallèles données. Ce qui prouve la grande complexité de la programmation mais montre aussi la grande richesse de l’Expérience que nous vivons.

 

Le cas des alters créés lors de rituels sataniques par une dissociation violente du psychisme est un exemple à part mais agit par effet d’écho sur de nombreuses lignes. Car il suffit qu’un des mois fractales ou quelques uns porte un type d’alter pour que d’autres lignes soient touchées, et que nos comportements s’en trouvent impactés sans qu’à première vue nous ne décelions quoique ce soit. Car le fonctionnement de la programmation atteint ici un niveau d’occultation très élevé. Nous sommes face au nec plus ultra du contrôle mental. Donc regardons y d’un peu plus près et l’exemple ressorti de l’alter programmateur viendra illustrer plus loin ce phénomène.

 

Dans le cas de ces dissociations brutales et imposées, la traumatisme psychique est tel, que la part de la psyché isolée est barricadée dans une inconscience quai absolue. On parle alors de mur amnésique que la part "consciente" de la psyché ne peut franchir ni même soupçonner l’existence. Une sorte d’entité annexe mécanique naît, sans doute beaucoup moins irriguée par le souffle du Soi que d’autres parts sur lesquelles la partie SDA peut étendre son aura. Mais ce type d'alter peut par contre servir de tremplin aux forces SDS surnaturelles. Sa naissance coïncide avec celle d’un monde "artificielle" qu’elle hante et d’où les opérateurs SDS de 4D avec l’aide de ceux de 3D, contrôlent entièrement l’alter. C’est une sorte de ligne hors ramifications temporelles, un entre-deux mort et activé selon la guise des prédateurs, qui s’en servent comme de canaux très efficaces pour asseoir leur emprise sur les lignes où il y a une expérimentation "réelle" et de l’énergie à vampiriser.

Cette part de la psyché tampon/bouche d’aspiration entièrement programmée, avec des spécificités bien marquées, peut ainsi diriger et contraindre le déroulement de l’expérience d’un moi et de nombreux de ses moi fractals qui ont une structure similaire. Depuis ces no man’s land psychiques, interdits et inter-temporels, façonnés à mesure, la prédation a loisir de mener attaques et de transformer des individus en agents pilotés depuis l'alter activé, pour effectuer toutes sorte de mission visant un large public (terrorisme) ou certains individus (canal de prédation, love bite, etc.). Par conséquent c’est un des meilleurs vecteurs utilisé par le Service de soi pour répandre terreur et propager l’hypnose – beaucoup de stars du show bizz subissent cette fragmentation de la psyché par le bais de rituels avec abus sexuels et tortures offrant le terrain à la dissociation et à la possession –, en bref pour propager l’essence de sa programmation et de son contrôle sur les lignes "fonctionnelles".

 

 

 

 

Il existe donc deux échanges qui se font écho, qui se superpose : grâce au travail de conscientisation chacun de ces deux échanges (interne et interne/externe) se fait conjointement à l’autre, et tend ainsi à s’amplifier et amener l’unité des parts séparées et isolées.

 

Encore une fois nous retrouvons le principe de l’oscillation, de la respiration ou de la palpitation. Nous nous recyclons et nous nous développons à travers l’Échange avec le monde, ce nous-même.

 

Je peux échanger avec une multitudes de moi, participant ainsi à tisser le multivers d’une infinité de liens reliant les consciences l’habitant, car je reconnais les moi qui le peuplent (en tout cas certains), je reconnais des fréquences résonant depuis une autre expérience, une autre ligne, puisque je porte en moi ces fréquences. De fractale en fractale, à l’intérieur comme à l’extérieur, un langage commun sous-jacent peut nous permettre de nous réunir et de nous remettre en route. Ce langage se fond avec le Supralangage de la vie fait de synchronicités, de signes, de symbolisme et de vibrations qui a pour vertu de donner toujours plus de sens à nos expériences afin que nous les comprenions mieux et que nous devenions plus conscients. Pour nous retrouver, parlons nous, suivons les fils d’Ariane de ce Supralangage, langage du Soi et de la Conscience Collective.

Écrire commentaire

Commentaires: 0