Chronique #2 : La Jaunisse

 

Thèmes et liens abordés :

 

Réminiscences et détournement de l’élan d’Unité :

- gémellité et voies supérieures

- formes/informations

- souvenirs et stimulations répétées et cumulatives des programmes internes

- sensations et relativité de la linéarité temporelle

- circuits neurochimiques notamment punition/récompense, culpabilité/frustration

- tentations et jouissance

 

 

Les différents visages de l’hypnose individuelle et collective :

- virtualité du film, des films parallèles

- boucles de rétrocausalité

- conscience et mécanicité

- apparences et surface où nous tient prisonnier le Programme

- perception amoindrie et corrompue du signal et de sa bande passante fréquentielle, dès lors soit le signal n’est pas perçu du tout, soit il devient un stimulus parmi tant d’autres, activant tel ou tel circuit

 

Comment se traduisent l’existence de ces circuits, l’influence des prédateurs transdimensionnels et la captation de notre conscience, à l’échelle sociale. Une grille de lecture inconsciente et des comportements qui nous convainquent que nous exerçons notre libre arbitre et faisons preuve de logique :

- peur du manque

- besoin de reconnaissance

- dévalorisation

- colère et révolte

- gilets jaunes

- sentiment d’injustice

- espoir maintenu vis à vis d’un paradigme fonctionnant selon ses lois c’est à dire correspondant à un certain niveau de création par la conscience

 

L ‘expérience SDS et le rôle du discernement :

- Récapitulation

- la Connaissance protège et éclaire la Voie, car elle permet de récupérer énergie et informations et de construire avec celles-ci de nouveaux aiguillages au sein de la matrice corps/âme/esprit, pouvant orienter les impulsions dont elle est le siège, vers le Service à autrui

 

 

Dans ce contenu je fais principalement allusion aux mécanismes d’emprisonnement par l’attachement aux sensations agréables. Cependant j’ai pu observé dans mes motivations et celles d’autrui, la stratégie inverse. C’est à dire l’accoutumance aux sensations désagréables, à la dramatisation. Je pense (et je ne suis pas le seul) qu’agréable et désagréable, plaisir et douleur, sont les facettes d’une seule et même pièce. Et tant que le dualisme de ces polarités opposées n’est pas conscientisé, il donne lieu a un énième cercle vicieux, au fonctionnement parfois difficile à cerner. Car étant de fait, habitués à des points de vue et des raisonnements unilatéraux, versatiles certes, la plupart du temps nous n’appréhendons pas ces dialectiques tournant en rond et enfermant notre esprit.

De sorte, ici ce qui commande, c’est l’intensité et la nature du stimulus. Et la souffrance déniée est à chaque fois à la hauteur de l’intensité du plaisir recherché et généré, ce qui tôt ou tard, nous poussera vers une nouvelle quête de plaisirs visant à occulter cette amplification, ou en tout cas, la réalité d’un enfermement perdurant. Et ainsi de suite. Ce déni pouvant même être inclus dans le genre d'idées : "Avec tout ce que j'en bave, je peux bien me faire un petit plaisir !" où l'on peut voir clairement, souffrance et plaisir se justifier mutuellement sur un plan inconscient. Ce type de pensée et de déclaration, hérite probablement en grande partie de la programmation judéo-chrétienne et de sa vision méritoire de la souffrance.

 

Attention : comme vous pouvez le constater mon parcours met à jour un équilibre révélant de plus en plus sa dimension intégrative. Si en aucun cas je fais l'apologie de la souffrance dans un quelconque sens, je ne dis pas non plus, qu'il n’existe pas de plaisir d'un autre ordre, associé à l'état de conscience et dont je pense expérimenter la survenue spontanée à chaque cycle d’intégration des leçons de l'En-ge.

 

Je perçois aujourd’hui que mon histoire émotionnelle, est aussi construite sur ces attachements à la douleur et à leur revécu. J’y vois à la fois des formes d’autopunition et de complaisance, associées à l’impression de reprendre contrôle de ma souffrance. Processus pendant lequel j’éprouve un "malin" plaisir et un sentiment de puissance retrouvée, typiques de la mentalité tordue du prédateur qui s'imprègne très tôt dans l'enfance. Ce mécanisme, entre imprégnation du mode de pensée prédateur et façonnage de notre psyché, est au bout du compte un mode de survie parmi tant d'autres. Malgré que les tenants et aboutissants de ma souffrance demeurent de cette façon inconscients, ce stratagème a ponctuellement un effet rassurant.

Ce phénomène de dramatisation, d'attachement à notre sort et à notre souffrance, souvent joint à une théatralisation de notre part, est un des rouages les plus pervers de la Matrice SDS, car il conditionne sa capacité à nous infantiliser. Je perçois régulièrement, l'influence de l'égrégore du Service de soi dans ce sens. Notamment en présence d'autres personnes. Sans m'en rendre compte, j'endosse le costume de la victime, ou celui du petit enfant impuissant. D'autre part ces comportements révèlent chez moi un besoin/réflexe de ressemblance bien ancré. Un réflexe qui réagit à la croyance enfouie qui me dit, que la victime est un des rôles dans lequel le système me reconnait et m'aime, dans lequel les autres m'aiment et me reconnaissent comme un des leurs.

 

De même que dans les versions orientées vers l’accession au plaisir, les sensations physiologiques sont en partie dues à la sécrétion de substances intra-corporelles.

 

Pour élargir le propos et faire écho à la première chronique L'heure sonne, ainsi qu'en guise de rappel, voici un article qui resitue notre réalité, et notamment "l'insurrection en fluo", dans son contexte cosmologique. Il met l'accent sur le fait que les lois de l'ensemble nous englobant, restent pour la plupart ignorées du grand public. et ce, malgré qu'elles rentrent en ligne de compte directe dans notre existence.

Ce matériel prenant exemple du soulèvement des gilets jaunes, donne un nouvel aperçu des rouages de la Matrice SDS qui vise l'aliénation corps et âme de chaque humain. Il évoque un des niveaux depuis lequel l'état profond et ses alliés "théologiques", programment et dirigent l'énergie psychosociale : en tournant à leur avantage les facteurs numérologique et astrologique. Cet art de la planification fait partie du pan global de la programmation SDS. Ils sont les curseurs que le Service de soi ajuste selon ses besoins et la situation, afin de conforter ou atténuer les stimulations qui existent à un autre niveau matriciel, les stimuli auxquels nous sommes confrontés journellement et qui sont eux aussi intégrés au plan de contrôle. Cette combinaison astrologique/numérologique est elle-même couplée à un duo lui-aussi récurrent dans la stratégie d'aiguillage SDS : magie sexuelle et sacrifices rituels.

De sorte, pour illustrer le sujet, un geste aussi banal que filmer une scène d'émeute et la publier sur les réseaux sociaux, geste pouvant donner l'impression au protagoniste d'exercer son libre-arbitre, est généralement tout le contraire. D'ailleurs avec la connaissance réelle des forces en jeux, ou du moins une idée de celles-ci, l'auteur potentiel de la publication serait certainement amené à s'interroger sur la banalisation de cet acte et celle de tant d'autres. Perversion que favorise la place hégémonique prise désormais par la technologie. Autre curseur du système de contrôle transdimensionnel insidieusement étendu à tous les domaines de la vie courante et jouant un rôle capital dans l'enfermement de l'humanité au sein d'une boucle en voie de réitération.

 

 

David

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