Chronique #3 : Le justicier et le juge

 

Thèmes et liens abordés

 

- la peur d’être emporté par la tourmente

- les dimensions personnelle et collective de la blessure d’injustice

- interaction entre karma individuel et karma collectif

- colère, contrôle et rigidité

- mes alter donnant corps à mes programmes sont là, à tous les carrefours du scénario global

 

- complaisance, dignité, justice et sincérité

- impact hypnotique du lyrisme

- refus de voir la part d’ombre et ce qui est vu comme une forme de compromission multidimensionnelle (la répétition des conséquences de la programmation SDS) ayant alimenté la situation actuelle

- cercles vicieux du déni et de la culpabilité

- psychopathie et Théorie des jeux, développée entre autre par Von Neumann

 

- l’alter justicier/juge

- les boucles, les différents temps, les différentes mémoires/souvenirs, les différents scénarios dans lesquels le programme enferme ma conscience et ma "conscience collective" (la conscience du phylum humain de 3D SDS)

- une réalité fractale et holographique dont il faut expérimenter les rouages, afin de saisir mon/notre implication dans celle-ci, seule voie pour s’en extirper et poursuivre mon évolution dans une réalité fonctionnant selon d’autres lois, une réalité que je crée "en même temps" que je rejoins le futur potentiel qu’elle constitue déjà

 

- accepter la sensation de vide que laisse chaque phase de déprogrammation qui pour l’ego signifient un abandon, une perte progressive de son identité. Sachant que cette déprogrammation correspond à un redressement de l’inversion (ou distorsion) que subit notre réalité à travers le regard des prédateurs. Et que donc, il s’agit en vérité de faire œuvre alchimique, de quitter une existence faussement pleine, donc, d’une certaine façon le "vrai" vide, pour se synchroniser avec un "vide" qui est l’interface de tous les échanges et où réside l’abondance du champ d’information unifié

- affectif impliqué dans le système SDS=fausse sécurité

- le véritable processus nous rendant notre dignité et notre justesse

 

Complément sur la façon dont mes programmes créent inconsciemment ma réalité, et par conséquent, participent au fonctionnement collectif :

 

Il semble que le mécanisme classique, est que la réalité vibratoire de chaque programme émotionnel – ce qui constitue sa capacité d’attraction et de matérialisation –, est généralement relayée par mes comportements. C’est à dire que, lorsque l'événement attiré rentre dans ma bulle de perception – ou dit autrement, quand ma bulle de perception se déforme pour faire apparaître celui-ci sous l’effet de sa force symbolique –, j’ai tendance à réagir aux stimuli qu'il comporte. 

 

Par exemple, dans l’histoire de la vente de mon appartement, j’ai attiré des personnes pour mettre notamment en scène, cette blessure d'injustice. Cela se traduit entre autre, par un besoin de me racheter d’un karma. Et de l'existence de travers qui ont pu se manifester de manière générale avec d'autres personnes. Ceci afin de me donner bonne conscience – sensation/sentiment important pour l’alter justicier/juge. Ce qui est une manière, comme je l’explique dans la vidéo, de lisser ma blessure d’injustice en tentant de me placer du "bon coté". Il y a d'autres programmes/scénarios intriqués dans cette histoire, d'autres blessures, mais je ne vais pas en parlais ici. Tant que cette situation n’est pas conscientisée, ce besoin d'être à la "bonne place" qui correspond à un aveuglement, donne lieu à des réitérations avec les mêmes personnes, ou d’autres, puisque le programme, qui est multidimensionnel, a généré et continue de générer plusieurs scénarios autour du même thème. Ces réitérations se faisant écho, emprisonnent de nombreux moi fractales.

 

Dans ce script, j’ai fermé les yeux sur de multiples indices me prévenant que différentes réitérations s’apprêtaient. J’ai fermé les yeux sur des signes de manque de fiabilité et de clarté chez ces personnes, et également sur des signes indiquant une blessure d’injustice profonde. Je n’ai pas eu la clarté d’esprit d’écouter mes intuitions, m’invitant à un retour sur moi et à une déprogrammation (à l'époque c'était de toute manière difficile pour moi), plutôt que de retomber dans un scénario déjà joué dans un autre temps.

 

Et ces personnes, marionnettes de leurs prédateurs et du mien – de la même façon que je suis la leur, de par la nature fractale et holographique du Scénario matriciel –, répondant au champ vibratoire de mon programme, ont souvent profité de ma complaisance, de mon abnégation et de ma fuite. La plupart du temps, chaque protagoniste essaye inconsciemment de tirer la couverture à lui, pour atténuer l'effet de sa blessure ou l'oublier. Nous avons une panoplie de stratégies pour ce faire. Pendant ce temps-là, les prédateurs transdimensionnels se gavent, et ça peut durer longtemps ! En ce qui concerne ce scénario, ça fait quinze ans qu'il tourne !

 

Ces situations ont suscité ma blessure d’injustice en lui donnant "raison".

 

 

David

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