Nouvel An* ou Nouveau Monde ?

 

An * est le démiurge, père et seigneur des Anunnaki, race de prédateurs transdimensionnels tenant notre réalité sous leur contrôle. Chaque année, juste après le solstice d’hiver, époque où Sirius atteint son plus haut point dabs le ciel – et à diverses occasions comme les anniversaires –, le roi An sollicite inconsciemment notre consentement. Usurpant la force et le symbole de certains moments-clés du calendrier cosmique.

Par diverses stratagèmes et rituels auxquels nous sommes désormais familiers, telles que les fêtes de fin d’année, nous renouvelons notre acquiescement et notre allégeance à l’esprit du Service de soi et à sa Matrice. Il n’y a donc en réalité, rien de nouveau qui commence à ce moment-là.

 

Au début de la journée et jusqu'au milieu de celle-ci, j'éprouve une forte contrariété. Je prends conscience qu'une fois encore, je n'ai pas su dire stop au jeu de la prédation SDS. Qui du coup, a su me faire baisser la garde et piloter la situation. Un enchaînement d’événements prévisibles, m’a plongé dans un état émotionnel maintes fois vécu.

Je pars marcher dans un endroit appelé la Falconnière, proche du Pic de Bugarach. De quoi me recentrer me dis-je en moi-même. Le lieu doit son nom à une barre rocheuse, fine et abrupte, formant un seuil que je dois franchir afin de poursuivre sur un chemin menant entre les arbres et longeant un ruisseau. Cette paroi minérale offre refuge à de nombreux rapaces.

 


À plusieurs moments, les strates de roche que je foule sont visibles. Je me rend compte qu'elles prennent une orientation verticale. On peut le voir nettement sur la falaise qui est striée de lignes montantes, et dans le lit de la rivière mise à nue par les pluies torrentielle d’il y a quelques mois. Je fais le lien avec la puissance émanant du site, une puissance toute particulière. J’y éprouve une sensation d’atemporalité. Avec gaîté des mondes s’y côtoient. Dans ce lieu la permutation bas/haut, horizontal/vertical, semble effective, et sans doute en cours, à l’intérieur de moi. En tout cas en ai-je un aperçu supplémentaire, particulièrement explicite.

 

Bien que la Matrice SDS ne soit pas loin, la superposition des réalités dont je suis témoin m’inspire soudain une compréhension. Je suis en train de tourner une énième prise de la scène où je suis contrarié, cela parce que mon discernement a été évincé et que je suis plongé dans un état d'inconscience.

 

J’entends le clapman. Scène La contrariété, 10 000ème ! Clap !

 

Je lis les Dialogues avec l'ange et je ressens depuis le début de cette lecture, une accentuation de l’alchimie interne, une nouvelle dimension qui prend corps en moi, difficile à décrire, mais que j'assimile à une présence plus intense à ce qui se passe, à ma vie intérieure. Je m’ouvre davantage à mon Ange. Il m’éveille à un surcroit d'écoute vis à vis de mes intuitions, ce qui fait que le sens du dialogue avec Lui, avec moi et le Tout, devient plus concret. Ses messages me pénètrent avec beaucoup plus de clarté et m'offrent un supplément de spontanéité.

Pour donner un autre exemple de cet éveil à une spiritualité plus concrète, j’ouvre une parenthèse. Afin d'évoquer un événement m’étant arrivé la veille. Car il n'est pas sans rapport avec le fil conducteur d'aujourd'hui.

Là aussi les circonstances du message surviennent lors d’une marche. Elles deviennent significatives lorsque j'approche Salza, un village des Hautes Corbières. Je me prend alors à chantonner intérieurement le refrain du célèbre morceau de l’Orchestre du Splendid (qui est le Splendid?), la Salsa du Démon (inclus dans l’album Tout va très bien !).

Il est évident que cette chansonnette, "bien entraînante", qui semble de prime abord parodier de désuètes croyances, est de ton un jour de Saint Sylvestre, où elle doit être entendue des milliers de fois et inciter à de vigoureux trémoussements – en fait son rôle principal est tout autre… Malgré une distanciation réelle vis à vis de l’égrégore SDS de fin d’année, je suis certainement influencé... Oui… mais... Vous allez voir !

Je sais aussi pertinemment, en mon for intérieur, que les cérémonies sataniques vont battre leur plein dans quelques heures, et que "les préparatifs" se ressentent déjà.

 

Une fois fois dans le village en question, je sens tout à coup une douleur dans mon crâne, semblable à celle que provoquerait sans doute une pointe assez longue s'il elle le pénétrait. Mais pour être plus précis, le phénomène s’apparente au réglage d’une fréquence radio produisant subitement une hausse de l’intensité de l’onde en cours d'ajustement.

 

Finalement, je découvre l'église. Chose étrange, je suis à peine surpris par ce que je découvre. Le porche arbore un "magnifique" pentacle inversé qui me donne la clef du rébus. La croix, signifiant la connexion haut-bas, avec nous dans le futur, avec la Grande Conscience, le Tout-Un, avec l’Ange, est à l’écart, et partiellement occultée derrière un écran de végétation.


Sous le porche, un petit lézard me fait un clin d'oeil
Sous le porche, un petit lézard me fait un clin d'oeil

Je repense à l’enchaînement des signes, et notamment au fait que l’air de la chanson me soit venu soudain en tête. Je me dis que mon Ange a attisé mes sens subtils, me permettant de décrypter la partie invisible du signal avant que j'en voie le versant visible. Chose que j’ai toujours eu une propension à faire, mais j’ai autrefois rejeté cette faculté innée par manque de foi, et de confiance. Sous l'action prédatrice.

 

Et il est bien difficile de relancer la pousse d’un germe qui a été étouffé. Mais possible !

 

Le soir, je croise une personne dénommée Anne, que je n'avais pas vue depuis des mois. L'une de nos dernières rencontres remontait d'ailleurs au 24 décembre 2017. Ce fait insistait-il sur l’enchevêtrement des éléments à l'origine du présent récit ?... Fin de la parenthèse.

 

 

 

Durant la balade d’aujourd’hui, tout en m'enfonçant dans la forêt, déambulant entre de petits reliefs, je demeurais avec cette compréhension/impression très forte, d’être dans un des scénarios préconçu. Cela se précisa par la sensation très nette d’être acteur/figurant dans un vaste parc d’attraction, version fées et lutins.

 

À diverses occasions je rends compte dans ce blog, de l'évolution de cette vision cinématographique concernant mes expériences. Et à ce sujet, je ne peux que vous renvoyer à nouveau à la série Westworld.


Stimulé par cette impression, l’envie me prend subitement d’escalader un rocher qui s’effrite de tous côtés. L’envie de savoir ! Je me précipite en m’agrippant aux arbustes car la pente se dérobe sous mes pieds. Un rocher "factice" ! La vraie réalité derrière le décor va t-elle se montrer ? Je pense maintenant au héros du film The Truman Show, quand il commence à avoir des doutes sur les consistances de sa propre vie. J’ai la certitude que je vais découvrir des caméras en action en haut du monticule.

 

Hors d’haleine, je parviens au sommet. Pas de caméras. Elles ont du s’escamoter dans une trappe camouflée... Je plaisante, mais bon… Je m’extirpe des arbres et débouche sur un replat. Je reconnaît une grande bâtisse isolée au fond d’une petite vallée. Un autre décor pour une autre scène. Je suis à la fois déçu et étonné de ce changement de plan-séquence. Mais mes émotions s'estompent rapidement. Mes aventures de tout à l'heure semblent appartenir à un autre monde . Déjà je m’avance vers un appentis ouvert que je viens juste d'apercevoir.

 

L’Ange y a disposé des indications. Pour sortir du scénario. Pour retrouver le stade du metteur en scène et créer une autre expérience, au-delà de celle-ci.

 

 

Les indices trouvés dans l’appentis :

Une oie en vol (l’Ange), sculptée avec de la terre rouge trouvée dans la région. Rouge et envol : le feu d’en bas nourri par le feu d'en haut peut s'élever. Car il est attisé par la conscience de l'apprenti.

 

https://vulcainhelios.wordpress.com/category/cahiers-fulcanelli/

 

L’Oie c’est la Loi-Une, le salut par la Connaissance fertilisant l’alchimie de mes programmes au travers de l’Échange.

 

Cette oie rouge est-elle l’évocation de l'Œuvre au Rouge ? Étape finale, passage auquel accède celui qui applique la Connaissance. L’Œuvre au Rouge est la fusion avec l’étoile du Soi, elle est l'achèvement du processus alchimique que les compagnons-bâtisseurs et autres cagots – la couleur rouge de l’insigne des cagots, dessinant une patte-d'oie, est un autre lien –, mettent en relief dans leurs ouvrages. L’oie étant déjà en elle-même l’effigie, le signe de reconnaissance des initiés à la construction sacrée. Ces constructeurs étaient en étroite relation avec les Adeptes du Grand ’Art et fidèles transmetteurs de la Connaissance en général. Ils avaient choisi de faire la passer à travers les "livres de pierres". Effectivement, les édifices devenant support d’un langage allégorique, transmutateur, et tourné vers l’essence profonde de l’existence, étaient eux-mêmes une application opérante, une démonstration in vivo de la Science du Grand Œuvre, faisant écho à l’Humain en tant que microcosme en interaction avec le macrocosme.

 

 

 

 

 

Une clef sur le sol. Où est la deuxième formant une paire avec celle-ci, permettant de marcher entre les mondes jumeaux?

 

 

 

"Silence"… L’Ange (En-je), souligne régulièrement la valeur du silence, puisque c’est au travers du silence que je trouve la force et la lucidité de laisser derrière moi ce qui doit retourner aux "Archives", l'ancien, les attachements. Bien entendu, après avoir pris soin d'en retirer la substantifique moelle. D'un autre coté, et cela va ensemble, ce silence nous permet de découvrir les archives toujours vivantes de la Connaissance éternelle et de nourrir la vraie parole qui émergera de ce temps de silence.

 

"Garde le sourire et continue de porter !" [Tout de suite je vois autre chose que le fait de porter mon fardeau et d'en être prisonnier] Autre clin d’œil de l’Ange, de la conscience collective des Anges, qui m’encourage et me pousse à être concret. Je retrouve deux de ses enseignements, sur lesquels il insiste souvent, qui peuvent être exprimés en ces termes :

 

Le poids fait la tâche et donc la légèreté

 

et

 

L’essence du sourire est le sceau de l’apprentissage en cours. Il guide la libération. Entrer en phase avec la Joie c’est à la fois le signe que l’on pénètre les secrets de la Connaissance et de son application, et la vibration qui nous y ramène.

 

 

David

Écrire commentaire

Commentaires: 0